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THE DREAM OF SHAHRAZAD

107 minutes, 2014
Réalisation : François VERSTER (Afrique du Sud)
Production : Undercurrent Film & Television (Afrique du Sud), Fireworx Media (Afrique du Sud), Middlewest Films (Egypte), Melia Films (France)

« The dream of Shahrazad » est un documentaire qui présente les récents événements politiques dans le Maghreb et au Moyen-Orient au sein d’un héritage historique et culturel plus large : celui de la célèbre collection de contes des Mille et Une Nuits.
En utilisant la métaphore de Shahrazad – la princesse qui sauve des vies en racontant des histoires dans la nuit – et filmé avant, pendant et après les Printemps Arabes, le documentaire tisse une toile faite de musique, politique et narration pour explorer les moyens à travers lesquels la créativité et l’engagement politique s’expriment face à l’oppression.
Une série de personnages qui puisent leur inspiration dans les Nuits et, comme Shahrazad, mettent la créativité au service de son utilisation politique…

François VERSTER
D’origine sud-africaine, François VERSTER est écrivain, musicien et cinéaste.
Il a travaillé pour l’industrie du cinéma de New York et du Royaume-Uni.
Ses films se caractérisent par des approches créatives et d’observation à des questions sociales : « Sea Point Days » (2009), « The mothers’ house » (2006), « A lion’s trail » (2002) et « When the war is over » (2002), entre autres. Il enseigne le cinéma documentaire dans plusieurs universités.

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PIRATES OF SALÉ

78 minutes, 2014
Réalisation : Rosa ROGERS (Royaume-Uni) et Merieme ADDOU (Maroc)
Production : Redbird Productions (Royaume-Uni)

Sur l’ancienne côte marocaine des pirates, dans la ville de Salé, une nouvelle génération de pirates embarque dans l’expérience du premier cirque professionnel du Maroc. Le Cirque Shems’y se situe à côté des bidonvilles les plus pauvres, et des centaines d’adolescents s’y rendent chaque année pour les auditions, à la recherche d’un avenir différent.
Le documentaire « Pirates of Salé » suit quatre jeunes marocains qui apprennent à vivre de façon autonome, à s’exprimer librement, à défier la tradition et qui embrassent un concept qui leur était totalement étranger : la liberté artistique.

Rosa ROGERS a réalisé de nombreux documentaires pour des chaînes telles que Channel 4 et BBC, entre autres. Parmi ses films : « The Greatest Show on Earth », sur l’histoire d’un danseur sourd qui participe au Carnaval de Rio; « Dragon People », le voyage d’un jeune photographe dans la Chine d’aujourd’hui; « Back to Bombay », dans lequel une femme anglaise d’origine indienne part pour la première fois en Inde à la rencontre de sa famille; « Bangladesh – Who will Pay ? »; « Pirates of Salé », sur le Cirque Shems’y; et « Casablanca Calling » sur les premières «femmes imams» du Maroc.

Née au Maroc, Merieme ADDOU a étudié le droit à l’Université Mohammed V. Elle vit et travaille à Rabat comme correspondante pour la Radio D-W. Elle est également productrice au sein de la société de production marocaine Camino Media. Elle a travaillé comme correspondante pour Kuwait TV et Al Jazeera International, et comme productrice pour ADTV, Qatar TV, BBC 2 (« The Changing Face of Islam »), BBC Radio 4, Time Magazine, the Financial Times, BBC World, SABC, National Geographic Magazine, Fox News, CNN, et Bloomberg. Elle a produit un documentaire pour la télévision nationale marocaine sur Orson Welles et sa relation avec la ville de Essaouira.
« Pirates of Salé » est son premier documentaire en tant que réalisatrice.

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L’ACCADEMIA DELLA FOLLIA

52 minutes, 2014
Réalisation : Anush HAMZEHIAN (Italie)
Production : Point du Jour, France Télévisions (France)

Comment se passe la vie des fous quand ils ne sont pas internés ?
C’est pour répondre à cette question qu’Anush Hamzehian a tourné dans la ville de Trieste où les fous vivent en liberté depuis que l’hôpital psychiatrique a fermé ses portes en 1978. On surnomme même Trieste ‘Le Hollywood des fous’ car on y trouve une troupe de comédiens mondialement connue, L’Académie de la folie, qui monte deux spectacles par an dans le plus prestigieux théâtre de la ville. Les comédiens de cette compagnie singulière, Claudio, Dario, Donatella, Charlie, Pino… sont les personnages forts de ce film.

Anush HAMZEHIAN est né à Padoue, en Italie, en 1980.
Après des études en communication, il a démarré sa carrière de réalisateur et monteur vidéo. Il a réalisé : « Le città continue » (26 minutes, 2004), « La dolce tragedia di Martone » (26 minutes, 2008), « Appunti su Sorrentino » (26 minutes, 2009), « La mano e la voce » (52 minutes, 2009), prix Art, Patrimoine et Cultures de la Méditerranée de l’édition 2010 du PriMed – Prix International du Documentaire et du Reportage Méditerranéen, « Le jardin des merveilles » (52 minutes, 2011), « Les Enfants de l’Odyssée » (52 minutes, 2012), « L’Accademia della Follia » (52 minutes, 2014) et « Je préfère aller en enfer » (40 minutes, 2014).

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L’HÉRITAGE DU SILENCE

52 minutes, 2015
Réalisation : Anna BENJAMIN (France) et Guillaume CLERE (France)
Production : Découpages, Toute l’Histoire (France)

Armen, Dogukan, Yasar et Nazli sont turcs et kurdes. Mais une découverte tardive a bouleversé leur existence : ils sont aussi arméniens.
En 1915, leurs parents ou leurs grands-parents ont survécu au génocide en dissimulant leur véritable identité. Certains ont été sauvés par des familles turques et kurdes, d’autres se sont cachés. Tous ont été assimilés, convertis à l’islam et oubliés.
Aujourd’hui, après un siècle de peur et de silence, cette histoire ressurgit. Depuis dix ans, les Turcs sont de plus en plus nombreux à découvrir ce secret familial et à revendiquer haut et fort l’héritage arménien de leurs ancêtres. Alors que les Arméniens du monde entier s’apprêtent à commémorer en avril 2015 le centenaire du génocide, « L’Héritage du Silence » donne un visage à ces descendants d’Arméniens islamisés, qui seraient plus d’un million aujourd’hui en Turquie.
Ce documentaire accompagne Armen, Dogukan, Yasar et Nazli dans leur combat et à travers un voyage intérieur à travers l’histoire qui leur a été racontée et celle qui leur a été cachée.

Diplomée en 2012 de l’école de journalisme de Strasbourg (Cuej), Anna BENJAMIN réalise le documentaire « L’Héritage du Silence » après avoir travaillé dans de nombreuses rédactions comme LeMonde.fr, TF1 News, le site de TF1 et de LCI, Rue89 ou encore LesInrocks. Co-auteur de deux webdocumentaires, « Palestiniennes, Mères Patrie » et « Etudiants en Temps de Guerre », elle se consacre aujourd’hui entièrement à la réalisation de longs formats.

Guillaume CLERE est né à Singapour, a grandi entre le Portugal, la France et le Liban, puis a fait une partie de ses études en Amérique Latine. Il a toujours été fasciné par les questions d’identité. Durant sa formation de journaliste reporter d’images à l’école de journalisme de Strasbourg (Cuej), il co-réalise le documentaire transmédia « I Goth My World », diffusé sur Arte, LeMonde.fr et LesInrocks en octobre 2012. Il travaille pendant deux ans comme JRI permanent et enquêteur pour l’émission État de santé sur LCP. Il a aussi été chef-opérateur pour « Renaître à Bahia », un documentaire de 52 minutes diffusé sur KTO.

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LE PEUPLE DE NEJMEH

52 minutes, 2015
Réalisation : Jonathan CADIOT (France)
Production : Talweg Production (France), Road 2 Films (Liban), Histoire (France), Al Jazeera Documentary (Qatar), avec la participation de TV5 Monde (France), Radio Télévision Suisse, RSI (Suisse), RDI Radio Canada (Canada)

Depuis quelques années, les tensions politiques et communautaires sont telles au Liban que les militaires ont remplacé les supporters dans les stades. Depuis toujours, au pays du cèdre, football, politique et religion sont indissociables. Chaque communauté a son club, que finance un parti politique. Dans ce contexte, le club de Nejmeh fait exception. Equipe la plus populaire du pays, ses joueurs et ses supporters sont de toutes les confessions. Ils se sont autoproclamés « l’incroyable peuple de Nejmeh ». L’histoire de ce club raconte un autre Liban et apporte une nouvelle lecture de l’histoire politico-religieuse de ce pays depuis 1945. Surtout, Nejmeh semble avoir résisté à toutes les crises, à toutes les guerres et incarne pour beaucoup l’allégorie d’un Liban uni et idéal.

Jonathan CADIOT
Après des études de géographie, où il se spécialise sur les pays en développement, Jonathan CADIOT réalise ses premiers documentaires en Amérique latine : « Sin maiz no hay pais » et « Par la raison ou par la force ». Au Mexique, puis au Chili, il s’intéresse aux questions sociales en lien avec les peuples indigènes.
« Le Peuple de Nejmeh » est son premier film historique.

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LA REVOLUTION DES FEMMES – Un siècle de féminisme…

54 minutes, 2014
Réalisation : Feriel BEN MAHMOUD (France, Tunisie)
Production : Drôle de Trame, avec la participation de France Télévisions (France)

Quelle place les révolutions arabes ont-elles accordé aux femmes ? Alors qu’elles se sont soulevées aux côtés des hommes, leurs droits et leur statut ont déchaîné les passions et les combats politiques. Pourtant, il y a 50 ans déjà, au lendemain des indépendances, la liberté et l’émancipation semblaient promises aux femmes arabes. Et les leaders politiques de l’époque déclaraient tous vouloir aussi libérer les femmes. 50 ans plus tard, les femmes arabes doivent pourtant lutter plus que jamais pour conquérir ou défendre leurs droits chèrement acquis. Que s’est-il passé ? Et comment les femmes arabes parviendront-elles à bousculer des sociétés cadenassées par le sexisme et le patriarcat ? Ce film raconte l’histoire de leurs luttes, commencée il y a plus d’un siècle. De Beyrouth à Casablanca, en passant par Riyad, Le Caire, Tunis, et Alger, Feriel Ben Mahmoud a recueilli les témoignages de militantes de la première heure, d’artistes engagées, de jeunes féministes d’aujourd’hui.

Feriel BEN MAHMOUD
Historienne de formation, Feriel Ben Mahmoud a réalisé de nombreux reportages et une dizaine de documentaires pour la télévision. Le monde arabo-musulman, autant sous l’angle de l’actualité que sous l’angle de l’histoire, est au cœur de ses préoccupations et de son travail de réalisatrice. Parmi ses documentaires de 52 mn, citons celui sur le bagne militaire français de Foum Tataouine en Tunisie, pour France 5; « Tunisie, histoire de femmes », pour France 5, ou plus récemment « Tunisie, année zéro », chronique des débuts chaotiques de la démocratie en Tunisie, pour Public Sénat. Elle est aussi auteur de nombreux ouvrages historiques : « l’Algérie coloniale », « le tourisme en Orient », ou encore sur les « Bataillons d’Afrique ».

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LES ÉVÉNEMENTS DE PHOCÉE 1914

50 minutes, 2014
Réalisation : Agnès SKLAVOS (Grèce) et Stelios TATAKIS (Grèce)
Production : Tatakis AV Productions (Grèce)

Juin 1914. Juste avant le déclenchement de la première guerre mondiale, toute la population grecque des côtes d’Asie Mineure a dû évacuer les villages, abandonner ses terres, ses biens et fuir pour trouver refuge en Grèce.
Cette expulsion qui a eu lieu pendant une période troublée au niveau politique et diplomatique n’a pas eu l’impact auquel on aurait pu s’attendre.

A cette époque, Félix Sartiaux, archéologue français et ses trois collaborateurs, se trouvent en mission archéologique en Phocée d’Asie Mineure pour découvrir les traces de l’Ancienne Phocée, métropole de la ville de Marseille. Ils sont non seulement témoins de cette attaque soudaine mais parviennent à sauver et à aider un nombre considérable de Grecs Phocéens dans leur fuite.

Agnès SKLAVOS est née à Londres. Elle a étudié la littérature française à l’Université d’Athènes et la réalisation cinématographique à l’école de cinéma Stavrakos.
Elle a travaillé comme assistante et première assistante réalisatrice sur de nombreux longs métrages grecs. Le premier film qu’elle a réalisé, « O Kir Orpheas » (2004), a remporté le prix du meilleur documentaire grec au 6eme Festival International du Documentaire de Kalamata.
Depuis une douzaine d’années, elle est réalisatrice de séries télévisées, court-métrages et documentaires.

Stelios TATAKIS
est né à Athènes. Il a étudié la programmation informatique à Delta et la direction de photographie à l’école de cinéma Stavrakos.
Depuis 1991, il travaille comme monteur, directeur de la photographie, réalisateur, GFX & superviseur de post-production, monteur de publicités télévisées, de films institutionnels et de long-métrages.
Ensemble, ils ont à leur actif les films suivants : « Ta kolitiria – Playing with shadows » (documentaire, 2012); « White & Blue » (court-métrage, 2012), « Heaven on Line » (court-métrage, 2012) et « Extreme Walks » (court-métrage, 2011).

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VOYAGE EN BARBARIE

71 minutes, 2014
Réalisation : Delphine DELOGET (France) et Cécile ALLEGRA (France)
Production : Memento, Public Sénat, avec la participation de France Télévisions (France)

Depuis 2009, un commerce d’êtres humains sévit en toute impunité dans la péninsule égyptienne du Sinaï. Les victimes, des Erythréens pour la plupart, y sont séquestrées et torturées jusqu’au paiement d’une rançon exorbitante. Robel, Germay, Filmon, Halefom ont survécu à ces camps de torture. A travers leur parole et leurs gestes livrés dans l’intimité de leurs chambres, le film retrace leur long voyage au coeur de la cruauté humaine. De Stockholm au Caire, où qu’il ait trouvé refuge, chaque survivant fait l’expérience d’un exil mental cauchemardesque que « Voyage en barbarie » cherche, pas à pas, à restituer.

Delphine DELOGET et Cécile ALLEGRA sont documentaristes pour ARTE, France 3, France 5… Le long-métrage « No London Today » de Delphine, primé dans de nombreux festivals, a été présenté au festival de Cannes par l’ACID. Lauréate de la villa Médicis hors les murs pour « Qui se souvient de Minik ? », primée par la fondation Beaumarchais pour son long-métrage de fiction « Finistère », Delphine a obtenu le prix qualité du CNC pour une fiction courte coproduite par France 3.
Cécile a travaillé comme grand reporter pour Le Monde. Son film  « Haïti, la blessure de l’âme » a été finaliste du prix Albert Londres et sélectionné dans divers festivals dont le Figra. Lauréate de ‘Brouillon d’un rêve’ de la SCAM pour « La Brigade », elle termine un livre (ed. Stock) sur la résurgence du travail des enfants en Europe, dans la lignée de son film « Une enfance au travail » diffusé sur France 3.

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LE COSE BELLE

88 minutes, 2013
Réalisation : Agostino FERRENTE (Italie) et Giovanni PIPERNO (Italie)
Production : Pirata M.C., Parallelo 41, Point Film, Ipotesi Cinema, Bianca Film (Italie)

A Naples, le temps n’existe pas. C’est une croyance populaire, une superstition, un porte-bonheur, une farce, une chanson. A Naples, on passe son temps à attendre, et puis, soudainement, on le passe à se souvenir. Est-ce que les belles choses vont arriver ? Se sont-elles déjà passées ? Le film compare quatre vies dans la Naples de 1999 – pleine d’espoir – et la Naples d’aujourd’hui, complètement paralysée.
Quatre jeunes napolitains nous donnent à voir le fardeau de devenir adultes : Fabio et Enzo, deux garçons de 12 ans, toujours des enfants… et Adele et Silvana, deux jeunes filles de 14 ans… Quatre regards pleins de beauté, de tristesse, d’ingéniosité, de fragilité, de peur, d’espoir et de cynisme.

Agostino FERRENTE, réalisateur, producteur et directeur artistique, est né en 1971 à Cerignola, en Italie. Assistant réalisateur de Silvano Agosti et de Nico Cirasola, il obtient ses premières reconnaissances dans les festivals internationaux pour ses courts-métrages « Poco più della metà di zero » en 1993, et « Opinioni di un pirla » en 1994. Il réalise ensuite avec Giovanni Piperno deux documentaires primés de nombreuses fois : « Intervista a mia madre » et « Il film di Mario ». En 2001, il fonde à Rome le groupe Apollo 11 qui va sauver le cinéma-théâtre Apollo, qui devait être transformé en salle de jeux. Avec Mario Tronco, du groupe Avion Travel, il crée en l’Orchestra di Piazza Vittorio qui va devenir un film documentaire en 2006, « L’Orchestra di Piazza Vittorio », lauréat du Prix Art, Patrimoine et Cultures de la Méditerranée au PriMed 2007.
Giovanni PIPERNO est né en 1964. Il a suivi des études de photographie. Il a travaillé comme photographe, opérateur sur plusieurs films et spots publicitaires, et à partir du 1992 a commencé produire et diriger vidéos et documentaires, et des émissions télé. Son documentaire « L’Esplosione » a gagné le Torino Film Festival 2003. Parmi ses derniers documentaires : « Il pezzo mancante », 2010, 71′; « La Danza delle Api », 2008, 46′; « This is my sister », 2006, 58′; « L’Esplosione », 2003, 75′; « Scusi, dov’è il documentario? », 2003, 18′.

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EVAPORATING BORDERS

73 minutes, 2014
Réalisation : Iva RADIVOJEVIC (Croatie)
Production : Ivaasks Films (Etats-Unis)

« Evaporating Borders » développe un large essai visuel sur la politique restrictive de certains pays vis-à-vis des populations migrantes.
Guidé par l’œil curieux de la réalisatrice et de ses réflexions personnelles, le film dissèque l’expérience des demandeurs d’asile à Chypre. Par une série de vignettes, il tisse poétiquement les thèmes de la migration, la tolérance, l’identité et l’appartenance.

Iva RADIVOJEVIC est réalisatrice. Elle a passé ses premières années en Yougoslavie et à Chypre, avant de s’installer à New York.
Ses oeuvres explorent les thèmes de l’identité et de la migration.
Parmi les derniers documentaires qu’elle a réalisés : « Evaporating Borders » (2014), « Mixba » (2012), « Ben: in the mind’s eye » (2012), « We the people have found our voice » (2011) et « Nobody can predict the moment of revolution » (2011).