IN SEARCH OF OIL AND SAND

IN SEARCH OF OIL AND SAND
58 minutes, 2012
Réalisation : Wael OMAR et Philippe DIB (Egypte)
Production : Middle West Films (Egypte)

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La fiction rencontre la réalité quand les membres de la famille royale égyptienne tournent un film juste quelques semaines avant le coup d’Etat qui les renverse du pouvoir. Ce film 16mm de 1952 a non seulement prédit leur destin, mais a aussi – à leur insu – enregistré les derniers jours d’une dynastie.

Wael OMAR SAYED EL AHL vit au Caire. Il travaille dans le cinéma et la télévision depuis huit ans. Il a produit plusieurs documentaires qui ont été retransmis sur les chaînes de télévision BBC Storyville, Al Arabiya, CMN, et ITVS. En 2008 il a créé la société de production Middle West Films.

Philippe DIB
Philippe L. DIB est un réalisateur et producteur d’origine franco-libanaise qui vit au Caire. En 1996, il a co-écrit et réalisé son premier film, « Welcome Says The Angel », tourné pendant la flambée de violences suite à l’affaire Rodney King à Los Angeles.
En 2006, il a réalisé le documentaire « El Tanbura », lauréat de nombreux prix.
Il a également participé au documentaire « 1/2 Revolution » (2012). Il a filmé un tiers des images de ce film, dans lequel il apparaît aussi à l’écran. Il en est également musicien et producteur associé.

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A HOUSE FOR BERNARDA ALBA

52 minutes, 2011
Director : Lidia PERALTA GARCIA (Espagne)
Production : Producciones Damira (Espagne)

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Huit femmes gitanes d’El Vacie, un bidonville de Séville, sont devenues très populaires en Espagne après avoir joué « La Maison de Bernarda Alba » de Federico García Lorca.
Leurs vies ont-elles vraiment changé ? Quel est le chemin qui les a conduites de la marginalisation à la popularité ?
Ce documentaire est une rare histoire d’aventures et de développement personnel.

Lidia PERALTA GARCIA est née à Grenade (Espagne) en 1970. Elle suit des études de traduction et d’interprétariat, puis consacre quelques années de sa vie à voyager au Moyen-Orient, en Asie et en Afrique. Elle termine des études de journalisme à Malaga en 2000. Elle rédige ensuite une thèse de doctorat dans le domaine du documentaire. Depuis 2001 elle est rédactrice et présentatrice de « Tesis », une émission de Canal 2 Andalousie basée sur des reportages socioculturels. Comme réalisatrice indépendante, elle a notamment tourné les documentaires « Sudan, by the way » (2009); « The Caravan of the Manuscripts from Al-andalus » et « Ancient Megastructures: the Alhambra » (2007); « When the Moors ruled in Spain » (2006); « Al-andalus in the mirror » (2005); et « Berbers of the High Atlas » (2003).

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TROUFIONS

TROUFIONS
56 minutes, 2012
Réalisation : Thierry DEMAIZIERE et Alban TEURLAI (France)
Production : Falabracks, France Télévisions (France)

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50 ans après la signature des accords d’Evian en mars 1962, le documentaire « Troufions » donne la parole à 5 soldats français qui ont fait la guerre d’Algérie comme simples appelés. Ces hommes âgés aujourd’hui de 70 ans se sont tus obstinément durant toutes ces années, sans rien confier à leurs parents, leurs femmes ou leurs enfants. Ils décident de parler pour la première fois, avant qu’il ne soit trop tard. Le film délie ces hommes de leur silence et récolte une parole juste sur leurs souffrances secrètes et leurs blessures invisibles. Ces hommes-mémoires sont paysans, ouvriers, ou fonctionnaires, ils avaient 20 ans et n’étaient que de simples troufions.

Thierry DEMAIZIERE est auteur et réalisateur. De 1985 à 1997, il a été grand reporter pour la radio RTL où il a continué à travailler jusqu’à 2011.

Alban TEURLAI est auteur, réalisateur et monteur.
Ensemble, ils ont réalisé les documentaires « Troufions » (2012, 52 minutes), « Ces Messieurs Dames » (2010, 52 minutes), « Thuram » (2009, 80 minutes), « Robert Luchini dit Fabrice » (2009, 52 minutes), « Lagerfeld, un roi seul » (2008, 52 minutes), « Lost in Vegas » (2007, 60 minutes) et « L’ordre des choses » (2003, 52 minutes).

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TINGHIR-JERUSALEM, Les Échos du Mellah

TINGHIR-JERUSALEM, Les Échos du Mellah
86 minutes, 2011
Réalisation : Kamal HACHKAR (France / Maroc)
Production : Les Films d’Un Jour (France)

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Récit d’un exil, « Tinghir–Jérusalem, Les échos du Mellah » suit le destin de la communauté juive ayant quitté le village berbère de Tinghir au Maroc, dans les années 1950-1960. Kamal Hachkar, originaire de Tinghir, nous emmène à la croisée des cultures et fait résonner les chants, les voix et les histoires de cette double identité partagée entre Juifs et Musulmans.

Kamal HACHKAR est un jeune Franco-Marocain d’origine berbère et de culture musulmane. Né à Tinghir, il a quitté le Maroc à l’âge de six mois avec sa mère pour rejoindre son père, qui a immigré en France en 1968. Après avoir étudié l’histoire à la Sorbonne, il est devenu enseignant. Intéressé par la culture juive au Maroc et le patrimoine judéo-marocain, il a voulu découvrir cette culture en Israël et au Maroc. Apprenant l’hébreu, il a organisé des soirées culturelles autour des poètes juifs et arabes à Paris. Il a participé à des débats mettant en lien des élèves israéliens et palestiniens, en les faisant réfléchir autour de la notion des identités et du rapport au clan, à la tribu.

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IN UTERO SREBRENICA

IN UTERO SREBRENICA
54 minutes, 2012
Réalisation : Giuseppe CARRIERI (Italie)
Production : Natia Docufilm (Italie)

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En pleine nuit, dans la forêt, Munira creuse à mains nues les terres minées pour retrouver les os de son fils qui a été tué lors du génocide de Srebrenica. Elle et beaucoup d’autres mères continuent dans leur lutte pour la justice en Bosnie–Herzégovine, un pays qui ne connaît toujours pas la paix.

Giuseppe CARRIERI est né en 1985 à Naples. Il est réalisateur et enseignant de cinéma. Il a à son actif les films documentaires suivants : « Notturno Italiano (14 Storie d’Italia dei 150 anni) » (125 minutes, 2011), « Tu sali tra le stelle » (27 minutes, 2012), « Stelle contate sulle dita » (52 minutes, 2012) et « L’alfabeto del fiume » (52 minutes, 2012).

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GUERRE D’ALGÉRIE, LA DECHIRURE – ÉPISODE 1

GUERRE D’ALGÉRIE, LA DECHIRURE – ÉPISODE 1
55 minutes, 2012
Réalisation : Gabriel LE BOMIN et Benjamin STORA (France)
Production : Nilaya Productions, INA, France Télévisions (France)

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50 ans après les Accords d’Evian et l’indépendance de l’Algérie, le temps semble venu de raconter la Guerre d’Algérie en regardant l’Histoire en face, sans tabous ni silences.
A partir d’images d’archives, en grande partie inédites et provenant de sources très diverses (archives de l’armée française, archives de la télévision française mais aussi images des télévisions anglaises, algériennes et d’Europe de l’Est ou encore images d’amateurs), « Guerre d’Algérie, La déchirure » entend donner à voir le conflit dans toute sa globalité, rendant compte de la diversité des points de vue pour chercher à comprendre ce qui s’est vraiment passé.

Gabriel LE BOMIN est auteur et réalisateur. Il a à son actif plusieurs films, dont les derniers documentaires sont : « Les Francs-Maçons et le pouvoir » (2009, 52 minutes), « Histoire de l’Armée française » (2006, 2 x 52 minutes), « La Ligne Maginot » (2001, 3 x 15 minutes), « La 2ème Guerre Mondiale et la France Libre » (2000), « Le Colosse d’Alexandrie » (1999, 13 minutes) et « Rwanda, l’humanité nous appelle » (1995, 26 minutes).

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Prix MULTIMEDIA DE LA MEDITERRANEE – PriMed 2013

Retrouvez ici la sélection des œuvres Multimédias sélectionnées pour la phase finale du PriMed 2013 :


17 OCTOBRE 1961, LA NUIT OUBLIEE

cliquez sur l'image de La nuite oubliée - primed 2013
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« La Nuit Oubliée – 17 octobre 1961 » propose une plongée interactive au coeur des événements qui ont secoué Paris le 17 octobre 1961, lorsque des affrontements ont éclaté entre les forces de l’ordre et une manifestation pacifique de Français Musulmans d’Algérie organisée par le FLN.
Les contenus originaux (témoignages mêlant vidéos, photos, sons et documents) s’articulent autour de quatre thèmes pour une compréhension globale de l’événement et du contexte de l’époque (6 témoins directs « dans la manifestation» ; 4 hommes « en coulisses du pouvoir » ; un jour dans la guerre d’Algérie ; se souvenir avec notamment Jean-Luc Einaudi).

 

DANS LES MURS DE LA CASBAH

image web doc Dans les murs de la casbah - primed 2013
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« Dans les murs de la Casbah » entraîne l’internaute dans ce dédale d’escaliers qui caractérise le quartier algérois. À chaque carrefour, au détour d’une ruelle, il a la possibilité d’entrer dans un café pour écouter les anciens, de pousser la porte de la maison des femmes ou encore de s’installer avec des étudiants parlants de leurs rêves d’avenir. Trois parcours virtuels sont proposés pour immerger l’internaute dans ce morceau d’Algérie et lui permettre d’écouter la parole des Casbadjis. En écho à ces témoignages, des chercheurs algériens nous aident à comprendre la Casbah. « Dans les murs de la Casbah » s’appuie sur les recherches d’universitaires algérois et rennais en sociolinguistique urbaine, une discipline qui étudie le champ urbain sous le double rapport de l’espace et des langues. Pour entrer dans ce quartier difficile d’accès, la réalisatrice a travaillé avec le sociolinguiste algérois Réda Sébih qui a, notamment, mené tous les entretiens en arabe.

 

HOMS, AU COEUR DE LA REVOLTE SYRIENNE

Homs au coeur de la révolte syrienne - PriMed 2013 voir le webdocumentaire
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Entrée clandestinement en Syrie en décembre 2011, Caroline Poiron, reporter photographe pour Géopolis, témoigne de l’état de la résistance au coeur de la ville rebelle de Homs. Pendant sept jours elle sillonne le quartier de Baba Amr aux mains des rebelles, des zones de combat aux hôpitaux de fortune. Elle y rencontre Tlass, le leader charismatique de la rébellion. Trois semaines plus tard, elle se rendra dans les zones contrôlées par le régime et ses milices.

 

 

 

UN ETE A ALGER

image web doc un été à Alger - primed 2013
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« Un été à Alger » est un documentaire transmédia tourné à Alger pendant l’été 2012 – celui du cinquantenaire de l’Indépendance de l’Algérie. Sur www.un-ete-a-alger.com, en juillet et août 2012, 4 jeunes et talentueux réalisateurs algérois racontent leur ville chacun avec leur intention en six épisodes. Un-ete-a-alger.com c’est six semaines de cinéma direct live :
– Lamine Ammar Khodja réalise un journal filmé à la première personne, et questionne les contradictions de son pays.
– Hassen Ferhani explore le quartier populaire de Cervantès, entre sa réalité et ses légendes (dont Tarzan et Don
Quichotte)
– Amina Zoubir impose sa féminité et sa caméra dans des lieux réservés aux hommes
– Yannis Koussim filme Alger la nuit, après la prière du Maghreb.
Chaque réalisateur tourne un épisode par semaine, mis en ligne le vendredi. Au fur et à mesure, « Un été à Alger » dessine un portrait subjectif, contemporain et polymorphe de la ville.

UNE JEUNESSE BOSNIENNE

Image web-doc Une jeunesse bosnienne - primed 2013
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20 ans après le début de la guerre, la jeunesse de Bosnie-Herzégovine s’affranchit de son passé. A travers plusieurs rencontres le webdocumentaire « Une jeunesse bosnienne » donne à voir des personnages face à leur destin, qui peinent à prendre leur vie en main, pris entre la corruption des politiques et le peu de perspectives à l’intérieur du pays. Certains fustigent le nationalisme, d’autres se remémorent leurs blessures de guerre, beaucoup rêvent de l’Europe. La
plupart souhaite avancer et fuie les célébrations commémoratives de la guerre.
La jeunesse de Bosnie-Herzégovine, de Banja Luka à Tuzla, de Sarajevo à Kuprès, en passant par Mostar se livre avec sincérité sur les préoccupations d’un peuple oublié, vivant aux portes de l’Europe.

MAUDIT SOIT LE PHOSPHATE

MAUDIT SOIT LE PHOSPHATE
85 minutes, 2012
Réalisation : Samy TLILI (Tunisie)
Production : Nomadis Images (Tunisie)

maudit-le-phosphate

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Le 5 janvier 2008, un sit-in organisé par un groupe de jeunes chômeurs en face de l’hôtel de ville de Redeyef, dans le Sud-Ouest de la Tunisie, marque le début d’un mouvement de dissidence civile, qui a duré six mois. 21 ans après le coup d’Etat médical qui l’a porté au pouvoir, le général Ben Ali est confronté à son premier soulèvement populaire.
Leurs noms sont Moudhaffer, Bechir, Adnene, Leila, Adel ou Haroun. Ce sont des enseignants, des chômeurs, des jeunes dans le désespoir. Certains sont dans les rues pour crier leur colère, d’autres pour soutenir ces jeunes gens. Ils se sont réunis dans un mouvement populaire sans précédent dans l’histoire contemporaine de la Tunisie, « la révolte pour la dignité ».
L’équation dans ce bassin minier est simple et absurde : le phosphate est produit par une région qui en subit toutes les mauvaises conséquences (écologiques et autres), sans en recevoir aucun avantage.
Quatre ans plus tard, que reste-t-il de cette aventure humaine ? Des âmes brisées et des plaies toujours ouvertes, mais aussi de la fierté et de la dignité.

Né en 1985 à Kairouan (Tunisie), Samy TLILI est un jeune réalisateur tunisien. Il est aussi enseignant à l’Université de Sousse. Il a à son actif trois courts-métrages. « Maudit soit le phosphate » est son premier long-métrage documentaire.

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LE THÉ OU L’ELECTRICITÉ

LE THÉ OU L’ELECTRICITÉ
93 minutes, 2012
Réalisation : Jérôme LE MAIRE (Belgique)
Production : Iota Production (Belgique)

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L’arrivée de l’électricité dans un village isolé et enclavé au cœur du Haut Atlas marocain. Durant plus de 3 ans, saison après saison, le réalisateur dévoile patiemment les contours de la toile qui se refermera inexorablement sur les habitants d’Ifri. Sous nos yeux se dessine l’image d’une modernité impitoyable à laquelle le petit village va être relié.

Né en 1969, Jérôme LE MAIRE est réalisateur, scénariste et cameraman. Après des études en Journalisme et Communication à Bruxelles, il s’oriente vers une formation en réalisation à l’Institut des Arts de Diffusion de Louvain-la-Neuve. Il a réalisé plusieurs courts métrages de fiction et plusieurs documentaires dont « Où est l’amour dans la palmeraie ? »  (2007), « Un jour, une vie » (2004) et « Volter ne m’intéresse pas » (2003). Son long-métrage de fiction, « Le Grand’Tour », a été sélectionné au Festival International de Rotterdam, au Festival de Cannes dans la section ACID, ainsi qu’au Festival International du Film Francophone de Namur, et est sorti en salles en Belgique en 2011.

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ITALY : LOVE IT, OR LEAVE IT

ITALY : LOVE IT, OR LEAVE IT
75 minutes, 2011
Réalisation : Gustav HOFER et Luca RAGAZZI (Italie)
Production : Hiq Productions (Italie)

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2 Italiens, 2 visions du pays natal qui s’affrontent : si Gustav souhaite émigrer, son compagnon Luca veut, lui, prouver qu’il y a encore des gens formidables dans la péninsule. De la dégradation des conditions de travail chez Fiat à la spéculation immobilière, qui défigure les côtes calabraises, les raisons de désespérer ne manquent pourtant pas. Mais quand Luca présente à Gustav un chef d’entreprise sicilien qui lutte contre la Mafia, ou l’étonnant communiste, catholique et homosexuel qui gouverne la région des Pouilles, il le convainc que tout n’est pas perdu. Gustav finit par revoir sa position et reprend espoir.

Gustav HOFER est né en 1976 en Italie, dans le Haut-Adige (Tyrol du Sud). Il a suivi des études de communication à Vienne (Autriche) et des études de cinéma à Londres. Il vit à Rome, où il est correspondant pour la chaîne de télévision Arte. Il travaille comme journaliste free-lance et réalisateur indépendant. Comme réalisateur, il a tourné « Korea Prioritaria » en 2002, « Men for all Seasons » en 2005 et « Suddenly, Last Winter » en 2008.
Luca RAGAZZI, est né en 1971 à Rome. Il est journaliste, critique cinématographique et photographe. Il a suivi des études de littérature et de philosophie à Rome. « Suddenly, Last Winter » a été son premier film en tant que réalisateur.

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