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NESSUNO CI PUÒ GIUDICARE

83 minutes, 2016
Réalisation : Steve DELLA CASA et Chiara RONCHINI (Italie)
Production : Istituto Luce Cinecittà srl (Italie)

Dans l’Italie de l’après-guerre et du miracle économique, le cinéma continue d’être le passe-temps favori des Italiens, ainsi que le vrai miroir des changements en cours dans le pays.
Les films musicaux, avec comme protagonistes des chanteurs de la jeune génération, racontent cette Italie en pleine transformation.


Né en 1953 à Turin, Steve DELLA CASA est critique de cinéma italien et directeur artistique de plusieurs festivals. Il a aussi réalisé quelques documentaires (« Perché sono un Genio! Le Tante Vite di Lorenza Mazzetti », 2016; « Flaiano: il Meglio è Passato », 2010) et a joué des petits rôles dans quelques films.

Chiara RONCHINI naît dans la campagne romaine.
Elle a travaillé dans les domaines de la coopération internationale, de la photographie, du design et du cinéma documentaire, entre Rome, Pristina et Barcelone.
Elle est aujourd’hui monteuse et travaille dans la post-production.
« Nessuno ci può giudicare » est son premier documentaire en tant que réalisatrice.

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MARE NOSTRO

55 minutes, 2016
Réalisation : Andrea Gadaleta Caldarola (Italie)
Production : Andrea GADALETA CALDAROLA, Rosanna RIZZI (Italie)

Molfetta, une ville au Sud de l’Italie surplombant la mer Adriatique.
Ici, la mer est non seulement l’arrière-plan de pittoresques paysages de carte postale, mais la pêche et le commerce maritime ont façonné au fil des siècles l’écosystème social et l’économie de la ville.
A travers les voix des pêcheurs, « Mare Nostro » tisse et rassemble les fragments et les souvenirs d’un lieu, le port de Molfetta.


Andrea GADALETA CALDAROLA est né en 1979. Il est réalisateur de documentaires et monteur.
Il travaille également comme formateur.
Il a à son actif trois films documentaires : « Mare nostro » (2016), « Destination de Dieu » (2014) et « Nomos » (2012).

Années des plombs, une tragédie italienne En direct du PriMed

LES ANNÉES DE PLOMB, UNE TRAGÉDIE ITALIENNE

53 minutes, 2016
Réalisation : Nicolas GLIMOIS (France)
Production : Sunset Presse, avec la participation de France Télévisions (France)

De la fin des années 1960 aux années 1980, l’Italie a vécu au rythme des mobilisations sociales mais aussi des massacres, des assassinats et des rapts. Noire époque d’extrémismes de droite comme de gauche, d’accointances macabres et d’effroyables soupçons de complicités criminelles, à l’initiative de certains secteurs de l’appareil d’État (police, services secrets) et de puissances étrangères.
De l’explosion de la Piazza Fontana en décembre 1969 à Milan, au massacre de la gare de Bologne en août 1980, en passant par l’assassinat de l’ancien Président du Conseil, Aldo Moro, en mai 1978, la violence a frappé en Italie comme nulle part ailleurs en Europe de l’Ouest.
Une guerre civile à basse intensité et une plaie ouverte pour l’Italie, qui, 40 ans plus tard, peine encore à démêler l’écheveau des responsabilités.


Nicolas GLIMOIS est auteur, réalisateur et scénariste. Il est né en 1968 à Quimper.
Il est diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Bordeaux, de l’Ecole Supérieure de Commerce de Reims et il a obtenu un master en Médias à l’Ecole Supérieure de Commerce de Paris.
Lauréat du Prix Albert Londres en 1999 pour « Les Blanchisseuses de Magdalen », il a à son actif plusieurs documentaires et reportages, parmi lesquels : « L’Affaire des Poisons » (2011), « L’argent sale, le poison de la finance » (2012), « Paris 2014 : coulisses d’une élection » (2014), « Steve Jobs – Bill Gates : le hippie et le geek » (2014), « Les enfants du péché » (2015) et « Le Val-de-Grâce, l’hôpital de la République » (2015).

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BERLUSCONI ET LA MAFIA. SCANDALES À L’ITALIENNE

56 minutes, 2015
Réalisation : Olivier TOSCER (France)
Production : Cinétévé (France) avec la participation de France 3 (France)

Février 1986. Les Français découvrent un homme d’affaires au sourire charmeur et à l’aplomb inébranlable : un certain Silvio Berlusconi. En Italie, il est déjà le roi de la télévision privée. A Paris, le président socialiste François Mitterrand vient de lui confier les rênes d’une nouvelle chaîne de télévision qu’il espère à sa main : La Cinq.
Mais à l’époque déjà, la réussite du milliardaire italien est controversée et on le soupçonne d’être lié à la mafia sicilienne.
Au cœur de la comédie du pouvoir et dans les arrière-cuisines de l’argent sale, ce film raconte comment la protection et l’argent noir de Cosa Nostra planent sur tout le parcours de Silvio Berlusconi, depuis ses débuts dans l’immobilier à Milan jusqu’à sa réussite en politique, en passant par son triomphe dans la télévision commerciale.
Déroulant un scénario digne d’un véritable thriller et s’appuyant sur des témoignages de première main, puisés auprès du premier cercle de Silvio Berlusconi mais également des magistrats antimafia les plus éminents, le film raconte aussi comment l’homme le plus puissant d’Italie a toujours réussi à passer aux travers des mailles du filet judiciaire.

Olivier TOSCER

Né en 1967, Olivier TOSCER a écrit et réalisé six films documentaires pour différentes chaînes : en novembre 2015, « Djihad 2.0 » pour LCP-Assemblée Nationale; en août 2015, « Berlusconi & la mafia, scandales à l’italienne » pour France 3, RTBF, RTS; en septembre 2013, « Crise grecque : une faillite européenne » diffusé dans les « Docs Interdits » sur France 3, est salué par l’ensemble de la presse; en 2010, suite à plusieurs enquêtes sur la corruption régnant en Polynésie Française, il co-réalise pour Canal Plus son premier film : « JPK, l’homme qui faisait trembler Tahiti »; pendant l’année 2011, il écrit et tourne pour Arte « Les millions perdus de l’Europe », un film sur la corruption dans l’Union Européenne; en juin 2012, pour France 2, il co-écrit et co-réalise le premier film français sur le trading haute fréquence : « Finance Folle : l’attaque des robots-traders ».
Olivier TOSCER a, par ailleurs, publié quatre livres dont le premier, « Argent public, fortunes privées », publié chez Denoël en 2002 puis dans la collection Folio Documents l’année suivante, est au programme de plusieurs formations universitaires.
Il collabore également à L’Obs depuis 1999. D’abord en charge des enquêtes économiques et financières, il se consacre aujourd’hui principalement aux problématiques du terrorisme et de la grande criminalité.